Traduire un livre, c’est compliqué, en fait. J’ai toujours eu une dent contre les traducteurs, contre les doubleurs. Je ne connais pas leur métier, je ne sais pas vraiment comment ces gens travaillent. Ça a commencé en 1999, quand j’ai rencontré mes voisins.
Je gardais leur merveilleux petit garçon qui adorait passer de longues heures à jouer à la Playstation. J’avais le temps de regarder des DVD, en VOSTFR à l’époque, puis rapidement je suis passé à la VO sous-titrée en anglais pour améliorer mon oreille, pour l’habituer à coller des sonorités sur des lettres….