“On ferme les portes, faute d’avoir trouvé un bon business model”. Trois fois en trois mois, j’ai lu ces mots venant de business que j’avais vus naître et suivis d’un oeil intéressé.
D’un côté, le copain FrenchTeuch et ses Tshirts garantis “Vulgarité payante”, de l’autre BonjourBonjour, un réseau social qui promettait “Des rencontres, des vraies”. Et hier, un mot du fondateur de SayFat, des Tshirts ambiance street food, lui permettait de tirer sa révérence en expliquant pourquoi il mettait un terme à l’aventure.
Si j’en parle avec légèreté, c’est parce qu’avant eux, moi aussi j’ai réussi à bien planter ma première société, Le Piège A Filles. Je pense qu’on a tous commis les mêmes erreurs marketing : un mauvais ciblage, et un mauvais business-model…