Deuxième édition du Festival Lollapalooza à Paris et je peux dire « j’y étais » !
J’en avais déjà pris plein les yeux lors de la première édition l’an dernier, avec les shows fous des Red Hot Chili Peppers et de The Weeknd, mais cette année, j’ai encore pris ma dose de frissons, notamment pendant mes deux temps forts avec Paul Kalkbrenner et The Killers.
Récit de ce week-end parisien à Lollapalooza Paris avec SEAT !
Si pour la première édition de LollaParis, c’était une belle invitation de la part de Heineken, cette fois-ci, j’intègre la team SEAT France.
A vrai dire, SEAT Europe, même ! Un beau groupe, à la manière des Avengers, avait été sélectionné pour goûter à ce festival de musique aux portes de Paris.
La délégation allemande était représentée par trois jeunes mannequins, Trixie et Taynara, Angelo aussi, ainsi que par des photographes dont Dominik et Jeremie.
Côté Angleterre, SEAT UK était représentée par deux influenceuses dont j’ai arrêté de compter le nombre de stories. Tout, absolument tout, elles ont tout filmé ! De vraies professionnelles ! (Et c’est là que le chargeur de téléphone fourni par SEAT a pris tout son sens !)
Enfin, côté « patrie de Seat », c’est une animatrice haute en couleurs, Pitty Bernad, qui est venue mettre l’ambiance.
Sa vidéo du #InMyFeelingsChallenge (retirée depuis) a pris feu sur les réseaux, du superbe travail, près de 300.000 vues en moins d’une semaine. C’est là qu’on se rend compte du travail créatif fourni par tous ces influenceurs.
Et la France dans tout ça, me direz-vous ?
Un grand photographe automobile, Arnaud Taquet. Je vous invite à aller voir son travail, même si vous n’êtes pas fan de voitures en général, les photos sont incroyables.
Et une découverte, le très sympa (et beau gosse) René Grincourt. Pendant tout le week-end, j’ai réfléchi, incapable de trouver à qui il me faisait penser (à part à moi, quand j’avais des abdos, dans une vie antérieure).
Réponse : Josh Hartnett. Avouez, il y a un truc…
C’est avec toute cette team que nous avons vécu un week-end parisien très bien organisé.
Cela fait maintenant des années que je pars en voyage presse, en opération blog etc… mais je dois reconnaître que là, l’organisation de SEAT était vraiment fluide. Le mix parfait entre programme bien pensé pour nous faire découvrir le son dans la SEAT, et détente choisie.
Je vous raconte ce parcours parisien urbain placé sous le signe du soleil barcelonais et de la musique !
Le fil conducteur créatif : le soleil et le son !
La marque barcelonaise s’est recentrée sur son ADN.
“Qui sommes-nous ?”
C’est une question que nous nous posons tous, et que toutes les marques automobiles se posent à un moment, qu’on pense au relancement de la FIAT 500 il y a quelques années, ou au retour de DS en France.
Retour sur soi, avec la question des origines, et de ce qui fait nos forces.
Et dans le cas de SEAT, c’est le sang créatif qui coule dans les veines des Barcelonais.
L’architecture et le street art ont trouvé leur place dans la ville catalane, cette capitale européenne qu’on a connue en France pendant l’année Erasmus de Romain Duris dans l’Auberge Espagnole.
On voulait ça, on voulait vivre ça, les soirées, les amis, l’alcool et la fête à Barcelone, la musique !
Et c’est pour cela que SEAT s’est associé au son très urbain de BEATS (oui, les casques audio Beats, la marque de Dr Dre).
Leurs ADN, l’identité des marques sont très compatibles, et le résultat était probant : nous avons quitté notre hôtel en SEAT IBIZA pour rejoindre l’Aérosol, à travers un parcours que n’ont pas boudé nos camarades internationaux.
Ci-dessous, un bout de l’équipe allemande sur la place Vendôme…
J’ai préféré shooter la SEAT IBIZA devant une construction qui devait être éphémère, elle aussi !
Les experts sur place m’ont confirmé que SEAT avait déjà un bon son, de base, mais qu’avec l’association acoustique avec Beats, ça renforçait encore plus l’expérience de voiture sympa dans laquelle on a envie de pousser le volume !
Ce qu’on a fait, pour le plus grand plaisir de notre chauffeur, vous vous en doutez !
Atelier street art : les joies de la peinture en spray !
La dernière fois que j’ai graffé, j’avais 19 ans. (On ne comptera pas les pochoirs sur le trottoir, aux alentours des Champs Elysées, pour la promotion de la soirée Club Nomo…)
On avait recouvert ma chambre d’internat de papier journal, trois épaisseurs pour être sûrs de ne pas salir les murs.
Armés de ses bombes, mon pote Filipe avait redécoré la chambre. Ça empestait dans tout l’étage, et j’avais dû dormir « chez une amie » pendant quelques nuits… Mais depuis, le street art, je le shootais surtout dans la rue et les musées, mais je n’y prenais plus part !
Ici à New York lors de mon dernier voyage…
Retour à l’atelier street art, à l’Aérosol, au nord de Paris. Dans cet ancien hangar de la SNCF, les street artists ont des murs pour tester, s’exprimer, créer, et on se dit que certaines œuvres mériteraient d’être protégées, et pas recouvertes…
A l’intérieur, dans le hangar, Maquis Art, une exposition temporaire sur le street art (allez-y avant que ça ferme, les pièces proviennent de collections privées).
Et c’est derrière que nous trouvons « notre » mur, presque vierge, sur lequel nous allons pouvoir donner libre cours à notre créativité.
Voici le mur avant…
Et voici le mur après le passage de la team SEAT !
Quelques photos avec le véhicule, et en voiture Simone, il est temps de rejoindre le festival Lollapalooza Paris ! Le son à fond, bien entendu…
C’est quoi, Lollapalooza Paris ?
Un festival musical international, qui passe par les Etats-Unis, par l’Amérique du Sud, qui fait aussi une date à Stockholm et une date à Berlin.
LollaParis est un festival d’été (bah ouais Morray, les festivals c’est souvent le printemps et l’été) qui a encore cette année fait le plein de stars locales et internationales.
Si l’an dernier, j’avais profité de la venue de Lana Del Rey, des Pixies, de The Weeknd, des Red Hot Chili Peppers, de Martin Solveig, de IAM qui avait fait « salle comble » bien que programmé sur une petite scène et de la belle performance de London Grammar, cette année, le plaisir fut très nostalgique, notamment avec Noël Gallagher, avec Stereophonics, Kasabian et Depeche Mode.
"Have a nice day" de @stereophonics même 17 ans après, ça marche encore très bien sur scène. (écoute à distance, mais c'est pour la gaufre, vous comprenez…) et l'enchaînement avec "Maybe tomorrow", parfait #LollaParis pic.twitter.com/Rbie9chGph
— Sélim Niederhoffer (@selim) 22 juillet 2018
Mes moments préférés ce week-end ? Un show simple de Paul Kalkbrenner samedi soir, qui jouait à l’autre bout de l’hippodrome de Longchamp, sur « Perry’s stage » (Perry étant le nom du fondateur du festival Lollapalooza).
Tabassage en règle, d’entrée de jeu sur Sky and Sand, son hit issu de la bande originale du film « Berlin Calling ».
Clope sur clope pour le DJ superstar de Berlin qui, on l’a appris grâce aux vidéos réparties sur et autour de la scène, ne bat la mesure que du pied droit (je me sens moins seul désormais).
Si quelques “champions du monde, champions du monde” tentent de percer en vain entre deux sons de PK, le divin chauve balance du Stromae, envoie son remix de Mad World, et s’arrêtera après Feed your head, tube de son avant-dernier album.
Et pour boucler la boucle de ce show « Part of life » dépouillé des gros effets visuels habituels, c’est Aaron pendant près de 10 minutes, pour le rappel.
Je quitte Perry’s stage sans poumon (la weed des festivaliers, la clope, la poussière soulevée) mais heureux, direction Depeche Mode (20 bonnes minutes) et surtout THE BLAZE.
Et avec l’énorme show de THE KILLERS dimanche soir, juste avant Gorillaz.
Je dois vous avouer que ça m’a bien fait marrer de voir le groupe de Brandon Flowers commencer sur la scène adjacente à celle qu’occupait Nekfeu.
Explications : j’ai vu deux fois Nekfeu, il ne commence JAMAIS à l’heure (généralisation abusive). Sur scène, il sait qu’il possède un temps imparti, il l’a même dit « faut qu’on finisse, sinon ils vont nous virer ».
Mais empiéter sur un groupe comme The Killers, mauvaise idée.
Les rock stars, c’était eux et pas lui : ils ont attaqué d’entrée sur Mr Brightside, avant d’embarquer le public avec eux sur When you were young ou encore le hit Somebody told me.
Ambiance survoltée avant l’arrivée de Gorillaz, qui viennent clôturer une très belle édition du festival. Est-ce que je vais attendre un an avec impatience pour la 3ème édition ? Oui oui !
Dormir à Molitor, l’hôtel qui aime le street art !
Une piscine mythique. Un antre du street art reconverti en hôtel 5 étoiles. Quand je vous disais que l’organisation avait déroulé un fil rouge parfait, je ne mentais pas…
Sur le toit de l’hôtel, la musique, l’apéro en terrasse et le soleil.
Sur les murs de l’hôtel, le rappel des graffitis retrouvés au moment de la réhabilitation de Molitor. Des œuvres de « l’art de rue » en guise de décoration, partout, dans les salles de réunion, dans les escaliers, et même dans les chambres.
J’avais déjà testé le Spa Clarins à Molitor, j’y suis retourné le dimanche matin après ma séance de sport (superbe salle, bien équipée, avec vue sur la piscine).
J’ai bien évidemment aussi profité de la piscine, pour la première fois. On dirait vraiment un décor de film, on passe un week-end hors du temps, je vous le recommande chaudement !
Un grand merci à SEAT pour cette invitation, un grand merci à The Killers que je réécoute en boucle depuis 4 jours aussi !
Sélim