La bella Fiat is back ! Pour avaler l’asphalte en FIAT 124, je me suis documenté, pour une fois, avant le départ ! J’ai eu la chance d’être invité par Fiat pour tester la nouvelle 124 Spider. Direction la côte landaise pour vivre la dolce vita en 24 heures chrono !
Retour à Biarritz pour le test de la 124 Spider, pour une journée baptisée « Fiat Escape » ! (Pour les dyslexiques qui ont lu Espace au lieu de Escape, c’est FIAT, là, les gars, un effort !)
Elle est apparentée à la Mazda MX-5 et vient du Japon (il s’agit d’un partenariat entre les constructeurs : Mazda avait une ligne de production à rentabiliser, Fiat cherchait une usine avec les compétences “roadster” pour le retour de la Spider, “it’s a match !”).
Mais la Fiat 124 Spider respecte la tradition des petits spiders italiens : légèreté, vivacité, nous dit l’Argus !
Je vous parle plus en détails des caractéristiques de la Fiat 124 Spider en bas, en fin d’article.
Plaisir et cheveux aux vents
Lors de la présentation presse du modèle, j’ai arrêté de compter le nombre de fois où le Directeur de la communication de Fiat et du Motor Village a utilisé le mot “PLAISIR”. C’est probablement le mot qui caractérise le mieux cette expérience expresse !
Ma partenaire du jour, HolyCamille, n’a toujours pas son permis : c’est donc avec plaisir que je lui servirai de chauffeur privé, encore, après notre escapade d’un week-end à Barcelone !
Sa position préférée ? Pas derrière le volant, visiblement, sur cette photo prise à notre arrivée au Blue Cargo.
J’ai prévu une surprise pour ce voyage blog : une playlist 100% Italia pour chanter à tue-tête dans la Fiat 124 Spider. J’avais prévu le coup, j’avais bien regardé la météo qui annonçait un ciel chargé et des averses : si le ciel pleure, ce ne sera pas de notre faute !
Des classiques qu’on a tous massacrés parce qu’on ne parle pas vraiment italien, et des pépites italo-disco pour faire l’amour sur la banquette arrière… Ah ben non, il n’y a pas de banquette arrière ! La 124 Spider est résolument une voiture de player, faite pour le soleil et la légèreté !
Préparer cette playlist Dolce Vita m’a aussi donné l’occasion de me refaire la quasi-intégralité de l’œuvre de Junior Jack, un des principaux DJs à avoir bercé ma scolarité secondaire (remerciements à Fred de Juan, meilleur DJ du monde et gratuit, de l’avoir passé en boucle pendant 4 ans).
L’occasion aussi de découvrir que Robert Miles était italien ! (Il l’est toujours, n’ayez crainte).
Quel look dolce vita pour prendre la route en Fiat 124 Spider ?
Niveau look, j’ai donc laissé le pantalon blanc et le style riviera à la maison, tant pis. Côte Basque oblige, le pull Loreak Mendian trouve sa place dans le sac pour ces 24 heures d’escapade !
Short bleu trouvé chez H&M à Berlin il y a trois ans, et Tod’s rouges. (Et les chaussettes ultra-basses invisibles, le secret absolu pour ne pas ruiner des mocassins).
Direction le Blue Cargo en Fiat 124 Spider pour la première étape de cette Fiat Escape
La route sera courte : seulement 15 minutes de l’aéroport jusqu’au Blue Cargo. J’avais eu la chance de faire l’ouverture de la saison et d’y croiser Jean-Pascal lors de mon dernier séjour à l’Hôtel du Palais.
Pas de coucher de soleil cette fois, mais un menu du coin, entre jambon et Ossau-iraty qui nous permet de reprendre la route en forme !
L’idée, c’est d’aller tester la souplesse de conduite de la Fiat 124 Spider, on y va donc doucement sur le rosé le midi. De plus, les routes sont mouillées, et plutôt étroites : j’ai flirté deux-trois fois avec le bas-côté en croisant des camions.
Un verre pas plus, la maréchaussée ne rigole pas avec les fous du volant. Après le déjeuner, nous avons filé avec Camille dans Biarritz. Pour lui faire visiter la ville, pour nous arrêter chez Miremont, pour shooter la voiture.
C’était sans compter sur l’impatience des policiers municipaux, qui par deux fois m’ont demandé de circuler. A peine eu le temps de mettre les warnings pour une photo devant le restaurant le Surfing que mes amis policiers haussaient le ton.
Je peux les comprendre : une telle voiture, ça peut énerver, ça peut rendre jaloux… On remet les voiles, direction Anglet, pour se rapprocher des maîtres de la séduction : que feraient les surfers beaux gosses sans leurs planches ? C’est là qu’intervient le maître shaper !
Ravitaillement basque chez UhainaPo à Anglet
Bienvenue dans le monde passionnant d’un créateur d’objets artisanaux bio-sourcés.
Cidre et gâteau basques pour nous accueillir chez UhainaPo, un atelier de shaper où Romain Chapron façonne des planches de toute sorte pour les meilleurs surfeurs mondiaux.
Je vous conseille de jeter un oeil à la galerie de photos de UhainaPo prise par Aurore Lucas pour comprendre ce que les mains de Romain Chapron fabrique au quotidien.
En attendant que toutes les Fiat 124 Spider arrivent au rendez-vous, nous en profitons pour tester les planches dans la descente : ma préférence va au skate, alors que J.B. Delame s’amuse davantage avec le longboard, très flexible.
Rigide, le skate en bois de Romain Chapron ? C’est bien normal, il m’a livré les secrets de sa création. Il s’agit du skate le plus rigide qu’il ait réalisé… pour aller chercher le café ! Il a dans ses bureaux plus de 200 mètres à faire pour aller chercher le café.
A l’aller, ça va, il pourrait avoir une planche souple… Mais au retour, pas question de bouger et de renverser du café !
La visite de son atelier et les tests produits m’ont vraiment enchanté. Le truc à côté du skate, il l’a baptisé Oreka. C’est avec ça que s’entraînent actuellement nos équipes de France de basketball féminines et l’équipe de kayak, pour les J.O. au Brésil.
Conçu dans les ateliers d’UhainaPo à Anglet, cet objet en bois “handmade” permet de pratiquer des exercices de gainage et de renforcement musculaire en équilibre.
Rien à signaler sur la route si ce n’est une petite pointe de vitesse qu’on n’affichera pas ici, bien évidemment. Un vrai plaisir de sentir l’air et les pins… pendant 5 minutes.
Malheureusement sur le chemin d’Anglet à Hossegor, nous enchaînons très vite les bouchons, les camions… et un véritable déluge m’obligeant à décélérer et à remettre la capote, manuelle. Ce n’est qu’une fois arrivés à l’hôtel que la pluie cessera.
Une nuit à la Villa Seren, à Hossegor
Sur le web, la Villa Seren est une énigme : je vous laisse le soin de jouer avec son site web, à l’ergonomie très… créative !
Cet hôtel de charme est tellement nouveau que je ne l’ai pas trouvé sur TripAdvisor ! Il possède en revanche une page Facebook. Le plus impressionnant et reposant : la vue sur le lac. Un lac parfait pour les coureurs, et pour faire du paddle.
Pas le temps de niaiser dans la chambre, je file me jeter dans la piscine avec Jean-Baptiste et Camille pour une séance d’aquagym improvisée et un shooting photo “maillot de bain” afin de me détendre avant la conférence de presse.
OK, j’exagère, les conférences de presse pour nous présenter la FIAT 124 Spider ne sont pas éprouvantes ! Au contraire, l’ambiance est détendue, contrairement à certaines présentations parfois TRES formelles.
On se laisse porter par les mots de Christophe qui nous parle de cette réédition du bolide mythique. J’ai retenu cinq points qui m’ont parus essentiels : cette Fiat 124 Spider est tout en séduction.
- Long de 4,05m pour une largeur de 1,74m et une hauteur de 1,23 m, on se sent vraiment au sol, ras du sol.
- Sculptées par les vents, les lignes du nouveau Fiat 124 Spider perpétuent une tradition d’élégance et de dynamisme apparues il y a 50 ans sur le modèle d’origine.
- Le Fiat 124 Spider est une invitation à la conduite à ciel ouvert : sa capote est facile à manipuler et ne nécessite qu’une intervention physique minime. Il ne faut pas plus de trois secondes pour l’ouvrir !
- En pressant le bouton Start – tous les 124 Spider sont équipés d’un système de démarrage sans clé –
le pilote lance alors le moteur essence 1,4 MultiAir. Mis au point par Fiat, il développe 140 ch à 5 000 tr/min grâce à son turbo et ne consomme que 6,4 l/100 km en moyenne, pour des rejets de CO2 contenus à 148 g/km. - Le Fiat 124 Spider est une propulsion et sa plateforme a été créée sur mesure afin de procurer des sensations de haute volée. Cela permet de contenir sa masse et d’abaisser son centre de gravité tout en répartissant parfaitement son poids : 50 % à l’avant et 50 % à l’arrière. Cela se traduit par un excellent équilibre sur route, d’autant que le véhicule est globalement léger : 1 050 kg seulement.
Les visuels pour le marché américain sont peut-être encore plus osés que les nôtres, encore plus romantiques… Quant au film promotionnel, vous reconnaîtrez un vieil ami…
C’est le restaurant La Tétrade, situé sur le lac lui aussi, qui nous accueille pour un dîner qui me permet de découvrir un peu plus les autres blogueurs.
Retour à l’hôtel, un thé et au lit, coucher immédiat, j’ai besoin de prendre des forces pour la journée de samedi qui s’annonce sportive aussi : arrivé à Paris, j’enchaîne avec le festival Solidays !
Un réveil toujours sous le signe du plaisir, pas forcément le mien : un grand merci à la voisine qui a joui à 7H15 (les murs sont un peu fins, comme mon ouïe). Merci de m’avoir permis de lire et d’écrire avant de reprendre la route !
Souvenir de vacances, nouvelle Fiat Spider 124 #joliportdepeche #fiatescape @FiatFr pic.twitter.com/8yDrm0jdyP
— THM Magazine (@THMMagazine) 25 juin 2016
Ravi d’avoir partagé ce voyage avec les copains Osmany, Amélie, HolyCamille, JB Delame, Hana, Ceylan, Camille TH, Transhumaniste, Amandine et Delphine.
Est-ce que j’achèterai la Fiat 124 Spider ? Oui, le jour où j’ai acheté la voiture de mes rêves (secret), elle figurera en bonne position pour les départs en week-ends et les journées ensoleillées !
Pour l’instant, je suis encore un peu jeune par rapport à la cible présentée par Fiat : plutôt des quadra et des quinqua successful, qui recherchent avant tout le plaisir !
Sélim, blogueur lifestyle di Pariggi
Ah le fameux Quadra en décapotable !!!
+1 pour l’anecdote du réveil !!!!
Ça fait toujours plaisir !